Nous, les Zêtas, avons détruit notre monde de 3ème Densité par des guerres biologiques dont nous avons perdu le contrôle et
donc en tant que créatures de la 3ème Densité nous sommes allés vivre sous terre parce que la surface fourmillait de germes
qui nous auraient rapidement exterminés. Un de vos films de science fiction, la pire horreur, mais qui vous plaît beaucoup, fut
notre réalité . Nous vivions sous terre dans des environnements protégés qui étaient stérilisés et nous avions des portes
hermétiquement closes. A l'occasion nous envoyions au dehors des volontaires génétiquement modifiés qui devaient essayer
de vivre en surface et soit ils survivaient un temps soit ils ne survivaient pas du tout, car qui veut vivre dans une cave d'où l'on
ne peut ni voir les étoiles ni écouter la brise souffler. Que s'est il passé lorsque notre monde est passé à la 4ème Densité?
Comme nous l'avons indiqué en détail, quand la Terre passera dans la 4ème Densité nous laisserons derrière nous les vers
solitaires, les moustiques et tout un tas d'insectes qui ne sont que des parasites et n'ont pas de place dans un cycle de vie
normale pour tout type de créature. Non seulement sont ils un fléau pour l'humanité et pour les nouveaux hybrides, mais ils
sont aussi un fléau inutile qui affecte la qualité de vie des formes de vies moins intelligentes – les oiseaux, les mammifères et
autres qui souffrent inutilement à cause de ces fléaux.
Si donc nous pouvons faire cela, pouvons-nous arranger la pollution? Oui. C'est fait en grande partie même avant la
transformation vers la 4ème Densité. Nous influençons déjà la planète Terre, et puisque nous y résidons et que nous comptons
être des résidents à l'avenir, nous-mêmes et nos hybrides participons aux décisions de savoir si oui ou non nous pouvons
influencer notre future demeure. Tout n'est pas noir ou blanc en la matière, une situation où l'humanité aurait le seul contrôle
pour faire de la Terre un cloaque et où nous resterions dans l'ombre et agoniserions. C'est un calcul compliqué. Il y a certains
domaines que nous pénétrons, mais nous n'allons pas au-delà de l'élément du doute pour ne pas influer sur le système dans
lequel l'humanité est en train de délibérer sur ses choix d'orientation. Après les cataclysmes, nous pourrons assurément
pénétrer les cloaques de produits chimiques où il pourrait y avoir une plante chimique, et avec une retouche par ci par là nous
pourrons changer la nature chimique de cette soupe volatile pour qu'elle soit inoffensive et non plus destructrice.
De la même façon, nous pouvons influer sur les explosions nucléaires et les déchets nucléaires. Nous pouvons laisser derrière
nous les matières radioactives, et ne prendre que ce qui ne l'est pas. Evidemment, cela laisse derrière nous un monde de 3ème
Densité plutôt déplaisant, mais le monde de la 3ème Densité n'est pas un monde propre à aider la vie. Nous pouvons aussi
tout simplement modifier la radioactivité. L'homme a tendance à imaginer cela comme quelque chose qui met des milliers
d'années, peut-être des millions d'années en terme de demie durée de vie pour que la radioactivité soit affectée, mais ce qui
provoque la radioactivité est la structure de l'atome et du noyau, et on peut la modifier par réaction chimique exactement
comme la formation de l'eau se fait par altération de la nature de l'hydrogène et de l'oxygène. Tous les atomes sont affectés
par les choses avec lesquelles ils entrent en contact. Aucun n'est seul. Tous sont affectés. Pouvons-nous arrêter les explosions
nucléaires? Pouvons-nous faire cela aujourd'hui? Oui et non, selon que cela interfère dans les décisions d'orientation des
humains de la 3ème Densité sur la Terre. Voilà pourquoi nous avons annoncé que l'homme serait autorisé à détruire son
monde dans une guerre nucléaire, mais de la même façon nous pouvons interférer dans d'autres étapes du déroulement des
choses et nous pouvons influer sur l'état du monde. En gros, nous ne pouvons pas interférer sur les leçons de vie, mais là où il
n'y a pas interférence avec ces leçons nous avons le droit d'agir en tant que futurs résidents.